Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Condoléances

07/08/2009 12:13

Condoléances


DLR14ème circonscription du Pas de Calais tenaient à présenter ses plus sincères condoléances à la famille de Madame Maryline Delattre, habitant Méricourt, décédée tragiquement avec sa petite fille sur la RN 10 à Bonneval (Eure et Loir). Nous assurons son compagnon et sa fille de notre soutien dans cette épreuve.

 






Vous avez dit souverainiste ?

07/08/2009 11:59

Vous avez dit souverainiste ?


Pour tous ceux, et notamment les 123 électeurs Héninois, qui doutaient encore de la mauvaise foi de Philippe de Villiers, nous pouvons assurément leur dire aujourd’hui que celui-ci les a trahis, et au-delà, trahis la France  ! Le doute n’est plus de mise puisqu’il y a peu, Philippe De Villier a rejoint le Comité de liaison des partis politiques soutenant Nicolas Sarkozy. Le MPF n’a plus dés lors aucunes crédibilité puisqu’il a rejoint des formations  qui ont ratifiés le traité de Lisbonne, le retour à l’OTAN et autres forfaitures contre la souveraineté nationale. Désormais, seul DLR se trouve légitime dans ce combat que beaucoup, à commencer par les Euro – béats, jugent d’arrière garde. L’avenir nous prouvera le contraire et les Français nous rejoindrons en masse dans ce combat qui passera par la restauration de la souveraineté nationale trop longtemps bafouée par l’UE.
PW


Commentaire de Anthéa (19/08/2009 09:02) :

De retour de vacances, bien heureuse de retrouver mon blog favoris qui m'a bien manqué. Je vois que la rentrée politique tant nationale que locale va être des plus mouvementée. Tant mieux, ce sera l'occasion d'y lire votre prose que j'apprécie depuis longtemps !


Commentaire de DLR1 (canal historique) (19/08/2009 13:12) :

Merci chère Anthéa, content de votre retour, vos commentaires nous manquaient !





« La petite soupe »

06/08/2009 21:07

« La petite soupe »


Philippe de Villiers a cédé ! Il vient de rejoindre la Majorité Présidentielle en acceptant de siéger au Comité de liaison des formations politiques qui soutiennent Nicolas Sarkozy.
Cette décision attriste toutes celles et tous ceux qui, même s’ils ne partageaient pas les convictions de Philippe, lui reconnaissait une certaine constance. Comment le président du MPF peut-il désormais soutenir un Président de la République dont il a contesté récemment les principales décisions (Traité de Lisbonne, retour dans l’OTAN, etc, etc…) ?
Philippe de Villiers pour se justifier, déclare se sentir plus efficace pour incarner le souverainisme à l’intérieur plutôt qu’à l’extérieur. Qui peut sincèrement croire une telle énormité ? Je lui souhaite bon courage !
Ceux qui, lors des élections européennes, me reprochaient de ne pas faire alliance avec Philippe de Villiers, comprennent donc aujourd’hui pourquoi j’étais si méfiant. Je connaissais en effet les contacts réguliers entre Philippe de Villiers et l’Elysée et je me doutais bien qu’un jour ou l’autre cela finirait ainsi. Je ne voulais pas participer à une énième trahison de nos électeurs.
Il nous revient désormais à Debout la République de rassembler toutes celles et tous ceux qui refusent une France abaissée et politicienne. Beaucoup de cadres du MPF nous ont déjà rejoints ou s’apprêtent à le faire. J’ai demandé à toutes nos fédérations de les accueillir à bras ouverts car, n’en doutons pas, la mascarade politique d’aujourd’hui appelle obligatoirement à un sursaut. Il nous revient de le préparer.
Comment croire, en effet, que notre pays puisse continuer à dériver ainsi. La caste dirigeante qui nous gouverne n’osant pas s’attaquer aux racines des problèmes.
Un moment d’ailleurs, nos compatriotes avaient cru que Nicolas Sarkozy en aurait la volonté. Mais les postures ne font pas une politique et la situation se dégrade de jour en jour :
• Sur le plan économique, la compétitivité des entreprises françaises s’effondre (euro cher, charges trop lourdes), les PME ferment les unes après les autres et seules, les banques qui tondent les Français, et les entreprises du CAC 40 qui investissent à l’étranger, masquent ce recul historique.
• Sur le plan budgétaire, les déficits explosent car seul l’assistanat peut éviter la révolte sociale, nos concitoyens supportant, de moins en moins, deux poids deux mesures qui servent de politique. D’un côté les privilèges, notamment fiscaux, de l’autre le chômage de masse.
La cohésion nationale, enfin, est ruinée par une immigration non contrôlée qui nourrit les ghettos de nos banlieues.
Face à cela, la politique gouvernementale se limite à des effets de manche, à des mesurettes pour se donner l’illusion d’agir mais se refuse à porter le fer sur les causes réelles du mal :
• Une Union Européenne qui asphyxie notre économie, par l’Euro cher et le libre échange déloyal. • L’absence de contrôle aux frontières et la pensée unique qui interdisent une vraie politique migratoire. • La proximité avec les grands groupes du CAC 40 et les banquiers, qui empêche de mettre l’économie au service du pays. • La volonté de plaire qui consiste à dépenser toujours plus, sans s’assurer des recettes.
Certains me diront : que peut-on faire ? Les Français ont la tête ailleurs, les principaux médias sont très proches du pouvoir, la Gauche ferait bien pire et même Philippe de Villiers abandonne.
Mais c’est justement parce que le couvercle est vissé fermement sur la marmite que cette dernière explosera.
Gardons alors notre cap, affirmons nos convictions républicaines et gaullistes et proposons des mesures très concrètes pour sortir la France de cette crise.
Car le grand paradoxe est que notre pays dispose de quantités d’atouts ; au premier rang desquels les Français qui aimeraient être considérés comme des adultes.
Redonner à notre pays les moyens de maîtriser leur destin en encadrant l’Union Européenne, renforcer la compétitivité de notre économie en s’appuyant sur nos PME, garantir la cohésion sociale en combattant les privilèges et en restaurant le modèle républicain, voilà les axes de notre projet. Nous en parlerons abondamment à nos Universités de Rentrée.
NDA







Concurrence déloyale en Europe : Bruxelles dit "non" aux transporteurs routiers français

06/08/2009 15:51

Concurrence déloyale en Europe : Bruxelles dit


Cabotage routier : Bruxelles rejette la demande française de moratoire

PARIS, 23 juillet 2009 (AFP) - La demande française d’activer la "clause de sauvegarde" pour obtenir un moratoire sur l’élargissement du cabotage routier en Europe a été rejetée par Bruxelles, a-t-on appris jeudi, une décision qui a suscité le mécontentement des transporteurs.
Le secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau, a informé les organisations professionnelles de ce refus dans un courrier dont l’AFP a eu copie. Mais il assure que "les échanges vont se poursuivre entre les autorités françaises et la Commission", notamment en matière de "réglementation sociale".
Le cabotage routier permet à un transporteur d’un pays de l’Union européenne d’effectuer un transport intérieur dans un autre pays. Le 1er mai dernier, le cabotage a été élargi à sept nouveaux pays (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie, Estonie, Lettonie, Lituanie).
Le vice-président de la Commission Antonio Tajani, en charge des Transports, a estimé que la mise en oeuvre de la clause de sauvegarde n’apparaissait "pas envisageable au regard des principes adoptés à l’échelle européenne par les chefs d’Etat et de gouvernement" dans le contexte de la crise, précise M. Bussereau dans son courrier.
Paris avait demandé le 30 avril à Bruxelles de pouvoir faire jouer la "clause de sauvegarde", qui aurait suspendu pendant six mois en France l’élargissement du cabotage, compte tenu des difficultés actuelles du secteur routier et de l’impact potentiel de cette mesure. La France est concernée par un tiers du cabotage européen.
Les organisations professionnelles se sont depuis plusieurs mois alarmées des conséquences négatives de l’ouverture du cabotage à de nouveaux pays sur un secteur déjà touché par la hausse des prix du carburant l’an dernier, puis par la crise économique.
"Le cabotage aggrave la chute des prix" en raison de la concurrence des transporteurs des pays de l’Est, a ainsi jugé Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR).
"Nous regrettons profondément la décision de la Commission et l’incapacité du gouvernement français à obtenir cette clause de sauvegarde" et "demandons au gouvernement ce qu’il a l’intention de faire pour aider ce secteur en difficulté", a déclaré à l’AFP M. Paulissen.
945 défaillances d’entreprises de transport routier ont été enregistrées dans la première moitié de 2009, selon la FNTR, qui prédit la perte de 40.000 emplois au cours de l’année.
M. Bussereau fait valoir pour sa part dans son courrier que "toutes les dispositions ont été prises" pour anticiper l’application en France des nouvelles mesures d’encadrement du cabotage. Ces mesures au niveau européen ont été arrêtées en juin 2008.
L’encadrement permet de limiter le cabotage à trois opérations sur le territoire national dans un délai de sept jours.
En France, ces mesures ont été inscrites dans le projet de loi sur les transport ferroviaires, actuellement examiné au Parlement. La rédaction du décret d’application du nouveau dispositif est en cours, selon M. Bussereau.
"On espère que ce sera bien voté à l’automne prochain, mais des pays comme l’Allemagne et l’Espagne avaient déjà anticipé la réglementation européenne dans leur législation nationale dès l’année dernière", souligne M. Paulissen.
23/07/2009 14h27 GMT - TRANSPORT-ROUTE-UE - Nouvelles de France - AFP





la trahison des économistes de Jean-Luc Gréau

04/08/2009 16:30

la trahison des économistes de Jean-Luc Gréau


La trahison des économistes de Jean-Luc Gréau
 
Collection le Débat
Livre Broché
256 pages
Edition Gallimard
11/09/2008
ISBN : 9782070121304
Jean-Luc Gréau contre le néolibéralisme
Après « l’avenir du capitalisme », où il annonçait, dès 2005, le risque d’une crise financière et prenait position pour une meilleure régulation des échanges commerciaux, Jean-Luc Gréau revient avec un nouvel opus où il règle ses comptes avec la pensée néolibérale avec brio.
La dénonciation des idées reçues
Jean-Luc Gréau n’est pas content, et cela fait plaisir à lire ! C’est avec un talent de conteur inédit qu’il décide de s’attaquer aux idées reçues de notre époque. La première à subir un sort est le modèle de développement des pays asiatiques, dont il souligne qu’ils combinent « des marchés intérieurs fermés aux biens de consommation étrangers et des productions nationales tournées vers l’exportation ». Ce modèle, inventé par le Japon, puis copié par la Corée, Taiwan ou maintenant la Chine, assure un développement économique par l’association du protectionnisme et du libre-échange des autres pays…
Il s’attaque ensuite à la théorie qui supporte le libre-échange en ridiculisant littéralement la pensée (datée) de Ricardo. Il montre bien qu’en dehors des matières premières, la théorie des avantages comparatifs ne fonctionne pas car « lorsqu’ils existent, (ils) ne sont pas attribués une fois pour toutes » comme le montre l’ascension de la Chine dans les produits électroniques. En outre, il souligne les dangers qu’une spécialisation à outrance ferait finalement peser sur la concurrence… Enfin, il fait un sort à l’idée de société post-industrielle en soulignant que la consommation de produits industriels tient mieux que la production.
Jean-Luc Gréau s’attaque ensuite au mythe d’une France en faillite. Il explique comment nous sommes passée de 21 à 65% du PIB de dette depuis 1980 mais tempère le jugement des cassandres en soulignant que, comme le Japon, nous ne sommes pas endettés vis-à-vis de l’étranger, au contraire des Etats-Unis. Il souligne le rôle de la baisse de l’inflation dans la hausse de la dette, du fait de la hausse brutale induite des taux et accuse clairement le passage à l’euro puisque notre dette a bondi de 32 à 58% du PIB de 1992 à 1998. Il attaque également le gouvernement Jospin, qui a dilapidé les fruits de la croissance.
Enfin, lors d’une passionnante rétrospective de l’histoire des banques centrales, il s’en prend à leur indépendance en soulignant ce que les deux cas particuliers doivent à l’histoire : aux Etats-Unis, ce sont les banques privées qui ont constitué la Fed en 1913, et l’Allemagne a subi un épisode hyper inflationniste douloureux. Il souligne que leur indépendance n’a pas assuré un moindre dérapage inflationniste dans les années 70 et que ce sont les politiques qui ont vaincu l’inflation dans les années 80. Il dénonce en outre la dérive actuelle de banques qui semblent surtout soucieuses de protéger la valeur des actifs financiers.
Les limites du néolibéralisme
Après ce florilège réjouissant, Jean-Luc Gréau reprend sa mission de démontage des limites du système économique actuel. Il rappelle rapidement que la libéralisation financière associée à la libéralisation du commerce pousse à une déflation salariale par la recherche du coût du travail le moins cher possible, « déconnectant alors la rémunération du travail de la productivité ». Il montre alors comment cette déflation salariale a été compensée dans certains pays par l’explosion de l’endettement, notamment aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, où les ménages sont endettés à hauteur de 100% du PIB (+ 30 points en dix ans).
Il évoque ensuite naturellement la première partie de la crise des subprimes (le livre a été écrit au printemps 2008) comme un roman, démontant l’ensemble des mécanismes qui ont abouti au désastre actuel, soulignant le rôle de l’effet de levier et attribuant la crise à un « krach du crédit ». Il dénonce la titrisation des créances des banques, qui « constitue un reniement du métier traditionnel du banquier » et souligne les excès de la spéculation, qui fait qu’un baril de pétrole peut être échangé 480 fois avant d’être livré…
Il attaque un monde où « les innovateurs de tout poil de la nouvelle finance cherchent à disséminer les risques qu’ils démultiplient par leurs innovations ». Il attaque également les hedge funds, dont Charlie McCreevy, commissaire européen estimait en juin 2007 qu’ils « faisaient du bon travail » et que « si des règles devaient leur être appliquées, il appartenait aux gérants des fonds d’en décider ». Enfin, il revient sur son jugement très positif des Private Equity de son dernier livre pour souligner leurs limites. Il conclut malheureusement sur le fait que le système est en train de se sauver par des injections massives d’argent.
Quelques pistes pour l’avenir
Ecrit au printemps 2008, ce livre ne prend pas en compte l’accélération terrible de la crise de l’automne dernier. En revanche, on peut dire qu’il l’anticipe quelque peu quand l’auteur affirme « qu’il suffirait qu’un risque systémique se matérialise pour que les prêteurs jusqu’ici complaisants rétablissent des primes de risque » pour les emprunts d’Etat, ce qui s’est vérifié. De même il souligne que la crise va remettre en cause « le courant vigoureux d’exportations de biens d’équipement qui a sauvé d’un marasme total les économies allemandes et japonaises » : leur production industrielle est en baisse de 15 et 20% fin décembre…
L’auteur est un peu plus court sur les solutions à apporter. Il détaille en revanche davantage sa proposition de protectionnisme européen en recommandant la mise en place de tarifs proportionnels à l’écart de salaires avec le pays concerné, sur le modèle de ce qui existe sur les vélos, où plus de 60% de notre consommation est produite localement. Il prend l’exemple de la Suède jugeant la stabilité du capital de ses entreprises, sa stricte régulation financière et son indépendance monétaire comme des atouts essentiels. Il conclut par sept propositions intéressantes pour sortir l’Europe de l’impasse néolibérale.
Avec ce nouveau livre, Jean-Luc Gréau confirme son statut d’économiste alternatif. Il démontre, avec un brio inédit qu’il est aujourd’hui un des meilleurs critiques des dérives néolibérales, tant par la force de ses arguments, très bien illustrés, qu’un talent, nouveau, de conteur.
 
Laurent Pinsolle, porte-parole de Debout la République





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